Et si vous aviez déjà vécu d'autres vies... Dans quelles régions du monde et à quelles époques vous voyez-vous avoir vécu...?
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Vos autres vies
Et si vous aviez déjà vécu d'autres vies... Dans quelles régions du monde et à quelles époques vous voyez-vous avoir vécu...?
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envoyé par: Gigilama80
L'Inde est le pays où j'habite il faisait froid et je me suis retrouvé avec être privé de manger pour les riches qui sont y paraît important. Mon jour de malchance commencé en 1816 est fini quand j'étais mort. Je suis né.
Le 25 /11/1806
envoyé par: Gigilama80
Je pense avoir était une personne privée de nourriture depuis des mois
Aussi un lapin à cause de mes dents
envoyé par: Anne-Laure
Suite à une de vos régressions sur Marseille :
Au-dessus de la porte 51, il y avait un oiseau en métal couronné, ailes ouvertes, de profil.
Je rentre et vois que je porte un cerclage doré sur le front, une robe fluide, longue, rose/rouge coquelicot, des sandales.
J'habite comme un palais. Je vois de grands escaliers, qui je pense, sont en marbre blanc avec des nervures grises et saumon.
Je suis accoudée à un balcon de pierres(j'ai dessiné sur ma feuille la forme). Je suis triste, regard vague , dans le vide, personne ne vient me voir, une vie de solitude.
Avant de partir, je vois un meuble type coiffeuse. On dirait que je prépare un spectacle. Je porte comme un pantalon/culotte bouffante rayée bi-colore en soie,avec un peu de dentelle. Une image s'impose à moi : la tête d'un lion.
Je referme la port et laisse mon diadème.
envoyé par: Sourciere
J'étais un jeune simplet qui vivait dans les montagnes entre la France et l'Italie je crois. Je gardais des chèvres pour une petite communauté de vieux moines qui fabriquaient du fromage. J'étais un enfant trouvé et la communauté m'a en quelque sorte adopté. Ils me donnaient du pain et du fromage de chèvre en échange de mon travail. J'avais des sandales et une vieille bure de moine transformée en tunique courte adapté à ma petite taille. Mon manque d'intelligence me procurait une vie heureuse et pure en contact étroit avec la nature.
Ce fut une belle vie toute simple. Une pause entre deux vies plus compliquées. De l'air, du soleil, ponctué par le bêlement des chèvres et le chant des moines au loin. Nous étions dans un lieu très reculé. J'aimais me coucher et regarder passer les nuages. Je suis mort tout bêtement. Je n'ai pas eu le temps d'avoir peur puisque la réflexion me faisait défaut. J'avais 14 ans je crois. Mon pied a glissé sur un caillou et je suis tombée de très haut. C'était une belle journée de soleil et de vent. J'ai le sentiment que nous étions dans les années 1300. J'avais besoin d'une vie de paix et de silence mental.
envoyé par: Shawnee
Bonjour Bernard,
Ravie de pouvoir partager quelques mots au sujet de l'avant-vie... ou l'après-vie, étant donné que le Temps linéaire n'existe pas.
Je ressens depuis petite, que j'ai vécu dans la Grèce et la Rome antiques. Et avant cela, en Égypte antique également.
Pourtant, j'ai fait 3 régressions via votre entremise avec Lilou M. et j'ai été emmenée :
- La 1ère se situe à Angkor Vat au XIIe siècle où j'étais une Apsara, l'une de ces gracieuses Danseuses qui "glissent sur l'eau". Notez que je n'avais aucune connaissance à leur sujet... mais cela m'a beaucoup plu. Je voulais explorer une vie où la discipline et l'excellence étaient portées à leur apogée.
- Une 2ème où je suis un propriétaire doux, respectueux et ouvert aux recommandations de ceux qui travaillent sur ma plantation d'orangers et de café en Californie au 18e siècle et ma femme est une personne. Je voulais ramener de cette vie, des savoirs-faire, des qualités professionnelles de savoir-faire (commercial) et la sensation d'être aisé mais je n'ai pas su ;
- la 3ème se situe au Japon (ou en Chine) du 17e siècle où je suis un calligraphe aimable et avenant, je porte à l'avant-bras un tatouage de dragon délicatement dessiné : mon but était d'explorer une vie dans laquelle je serai pleinement concentrée, attentionnée à ce que je fais, ce que je dis, à ma vie. C'était là chose faite.
En revanche, je n'ai pas su ramener ces qualités dans mon présent - que j'avais par nature jusqu'à mes trente ans environ.
Bien à vous et au plaisir de vous lire !
envoyé par: jbclt
Pour ses 70 ans, il y a qqes années, une de mes sœurs voulait faire le pèlerinage de St Jacques. Je l'ai accompagnée, de même qu'un beau frère qui connait la région. Peu avant Nasbinals, au milieu de nulle part, j'ai ressenti un sentiment particulier, puissant, la connaissance intuitive qu'il s'était passé qqch d'important à un endroit précis, peu avant un pont, au bord d'une petite rivière. J'ai demandé à mon beau frère s'il s'était passé qqch d'important à cet endroit ? Rien, m'a t il répondu, à part les guerres de religion. Après être revenu en région parisienne, des souvenirs (ou des réminiscences, je ne sais pas comment qualifier ce genre de choses) précis me sont revenus en tête, petit à petit. D'où il ressort que j'étais très certainement un protestant actif, et recherché par les autorités locales. ils avaient fini par nous retrouver, un compagnon et moi. Un cavalier armé, en uniforme, et un ou 2 accompagnants. C'était la fin de l'été, il faisait beau. On se dépêchait de traverser l'Aubrac, avant la mauvaise saison. J'avais décidé de prendre ce chemin, plus court pour rentrer chez nous, mais plus risqué, contre l'avis de mon compagnon. Et ce militaire, ou gradé, était bien décidé à en finir avec moi en particulier. Que peut faire un ouvrier agricole journalier face à 3 hommes, dont un qui manipule une épée, même si son métier en a fait un homme de bonne carrure. Mon sort était donc réglé. Ce qui m'est venu ensuite m'a étonné : j'étais en colère d'avoir été assassiné, en laissant une femme et 2 enfants. Et mon esprit est donc resté à hanter les lieux pendant un certain temps. Et j'ai cherché à faire peur aux gens qui passaient par là, parfois avec succès, pour peu qu'ils soient un peu sensibles. Autre détail précis qui me fait croire que ce n'est pas une pure invention de mon cerveau : la route actuelle est un peu éloignée de cette petite rivière. A l'époque, ce n'était qu'un chemin de terre, qui était parfois inondé, et donc boueux, lorsque le niveau de la rivière montait.
envoyé par: Sam
Bonjour, après avoir lu La boite de Pandore et les Thanatonautes, le fait de vivre différentes vies m'a interpellée. Je pense que j'ai du être une louve dans mon passé puisque je ressent un fort lien avec cet animal. Je pense que je dois être au début de ma vie d'humain puisque je me suis découvert gender-fluid (Mon genre fluidifie, je passe de féminin, à masculin, les deux ou aucun à certaine périodes.)
envoyé par: Viviane Moreau - Bruxelles
Il y a peu, j'ai compris que dans cette vie-ci j'effectuais un karma/réincarnation afin de régler ce que je n'avais pas réalisé correctement par le passé. Au 12è siècle, j'ai vécu en Israël. Pour suivre celui que j'aimais, je me suis mal conduite avec ma communauté et ma famille. L'histoire est compliquée, mais tout ce que j'ai vécu et tout ce que je vis maintenant renforce cette quasi certitude. C'est ainsi que j'ai pu pardonner à mon père car, inconsciemment, c'est lui qui a été l'instrument primordial de mon karma. Dommage que je ne l'ai compris qu'après son décès. Ensuite, des signes, rêves et prémonitions m'ont confortés dans le fait que ce n'était pas mon imagination qui déraillait. Les choses, faits et actes se mettaient tout naturellement en place. J'ai aussi compris que le fil conducteur de ma vie était et est toujours "l'amour" parce qu'une fois, de l'autre côté, on ne sera jugé qu'à l'aune de l'amour. Alors, n'y tenant plus, début mars (début du covid), j'ai mis trois mois à écrire le premier tome de "La croix et l'étoile". L'histoire se passe à Jérusalem et à Saint Jean d'Acre, à l'époque des croisés. Nous sommes en avril et je viens d'en terminer la suite qui navigue entre fiction et réalité présente. Artiste peintre, mes couvertures sont faites et j'attends que mon fils fasse imprimer mes livres. La boucle sera alors bouclée. C'est une sensation merveilleuse que d'avoir trouvé "le pourquoi" de ma vie actuelle. Je ne désire pas me cacher sous un pseudo.
envoyé par: Jessy
Dans cette vie je suis une femme, j'ai 53ans, j'ai fait l'expérience d'une vie antérieur avec vous, sur la télé de Lilou Macé : c'était super !
porte 9, mon voeux est de ressentir l'amour de mes parents :
époque des pharaons, je suis un enfant de sexe masculin, j'ai environ 9ans, mes parents sont âgés, ils sont des bédoins, il fait très chaud, nous sommes au milieu du désert, je suis avec mon père, il y a un âne qui porte les pierres, nous nous abritons sur une falaise, je crois que c'est une pyramide en construction, il y a des pierres qui tombent,
nous rejoignions la tente bédouine où ma mère nous attend, elle est belle, elle m'accueille dans ses bras, elle est assise et visiblement elle nous a préparé à manger,
beaucoup d'amour, de chaleur et de bienveillance nous entoure,
je repars de cette régression en emmenant avec moi un plat argenté de taille moyenne orné de pierres précieuses bleues, vertes, oranges
c'était un beau voyage, merci Bernard Werber, vous embellissez nos vies !
envoyé par: RayZ
Je suis dans un désert au cœur de la nuit. Le ciel est étoilé. Il n’y a pas de vent, il ne fait ni froid ni chaud ; bref c’est le calme total. L’ambiance y est surréaliste, métaphysique, mystique, nostalgique, futuristique, fantasmagorique, éthérée, remplie d’angoisse et d’espoir. La mort est l’atome de la vie. Du ventre vide à l’abondance nourricière, de l’amour à la guerre, comme autant de notes d’une seule et même mélodie majestueuse.
Il y a une énigme cachée dans des temples de style égyptien, mais dont je ne pourrais identifier la provenance. Tout ça est là, dans le désert.
La Lune brille, sa forme me parle de géométrie, sa lumière me parle de la nuit, ses mouvements me parlent des étoiles et sa couleur me parle de destinée. Elle me pique un brin de jasette en attendant le grand retour du Soleil.
Dans quelle geôle existentielle suis-je prisonnier? Dans quel labyrinthe magique ai-je atterri? Le calcul instinctif glace le sang, les pulsions animales bouillent dans mes veines. La chaleur de l’autre m’abrite, je suis dans le train vers cette destination finale qu’est le mystère de la vie.
envoyé par: Capitaine27kirk69
Bonjour a tous...vous allez bien rire avec ce qui suis (-: (si c'est publié car mon dernier message n'a jamais été publié )
Je suis arrivé sur terre parmi les premiers, j'étais alors un Reptilien, parmi les gentils Reptiliens car il y a des méchants hélas. Et je suis d'ailleurs mort au combat contre ces méchants reptiliens, et ce en compagnie de B. Werber qui était la aussi, car nous nous connaissons depuis fort longtemps..Et depuis ils sont toujours la, et c'est eux qui gouverne notre monde sans que nous le sachions. Plus tard j'ai été Atlante comme Bernard, et j'ai survécu au Déluge surement, comme il le décrit dans son livre avec les 144. Et j'ai eu une vie ou je me suis retrouvé en Egypte et ou B. Werber y était mon fils. Et nous avons participé au projet Pyramide, surtout lui d'ailleurs car il avait un poste haut placé. Puis je me suis retrouvé du temps de Jésus ou je faisais partie d'un groupe de 12, et B. Werber s'est joint a nous en étant le 13 -ème pour remplacer un d'entre nous qui s'est pendu. Puis je me suis retrouvé Templier avec B. Werber, puis je me suis retrouvé étant son frère alors qu'il était Jules Vernes...Bien sur beaucoup vont rire en lisant cela (-:...Mais c'est pourtant l'histoire que les médiums que j'ai rencontré m'on tous raconté, et j'en ai déjà vu quelques un...Et j'ai eu des renseignements de Monique la médium de B. Werber a qui j'ai pu avoir accès, car elle m'aide d'en haut et me porte un amour maternel, c'était surement déjà ma maman.
Alors vous avez bien rigolé ?
Mais plutôt que de rire...Demandez moi plutôt de vous la raconter mon histoire ou j'ai moults audios et synchronicités décoiffantes…J'ai déjà vécu d'autres vies et j'en ai la preuve tellement mon histoire est logique...Et dans l'une d'elle j'étais l'Apôtre Jean...Et ce que je vis actuellement le prouve 1000 fois…Et d'en haut…. On me demande de redevenir Jean...Le combat n'est pas terminé...Le jour de la riposte est arrivée !!! Bernard ce message est pour toi...Demande moi ce que je sais..j
envoyé par: Mathilde
Enfant, il me semble qu'il existe des lieux familiers alors que je n'y suis jamais allée et j'éprouve un grand plaisir à lire sur le sujet ou imaginer y vivre. Certaines sociétés me fascinent. Avec une amie nous jouons à être des indiens d'Amérique. J'ai 8 ans et je me souviens être complètement prise par le jeu, mon amie me parle de piège à loups (j'entends "pieds jaloux"). Plus tard lors d'un stage avec un amérindien, au cours d'une méditation, je me sens partir sur un sentier dans la forêt, je suis un jeune homme en très bonne santé, un chasseur, et je pars pister des animaux, je me déplace très souplement et ne laisse aucune trace de mon passage. Les deux expériences se recoupent et comment expliquer que JE SAIS que j'ai été cet indien et que mon pied a été pris par ce piège...
Lors des méditations guidées, je pénètre dans le couloir et n'arrive à ouvrir aucune porte! Mais par contre, depuis toujours je suis étonnée des aptitudes que l'on peut avoir sans aucun apprentissage ni raison familiale, nos goûts particuliers, ... Si j'avais vécu d'autres vies? Ce serait aux temps préhistoriques,et puis chez les Inuits, à découper et manger de la viande ou du poisson cru, puis, bien plus tard cordonnier et aussi artisan tailleur de pierre...
envoyé par: Anne-Marie
J'ai eu une vision un jour : je me suis vue dans une de mes vies antérieures, j'étais en Egypte, j'étais un homme (je suis une femme dans ma vie actuelle), j'étais au pied d'un très haut bâtiment en pierres, devant la porte autour de laquelle il y avait une immense silhouette de chat. j'étais responsable et soigneur dans ce refuge réservé aux chats sacrés. Les chats m'aiment tous dans ma vie actuelle et moi je les adore.
Lors de la lecture de votre livre : la boite de Pandore, j'ai fait ce que vous indiquiez et j'ai demandé d'avoir un aperçu de ma vie la plus heureuse : j'ai été très étonnée car au bout d'un couloir, c'était un peu trouble puis plus net : je me suis vue en guenon, habillée avec une petite robe rouge, dans un cirque ! j'avais un ami qui était un dromadaire... j'avoue que j'ai eu peur et je suis remontée tout de suite vers ma conscience
tout ceci est strictement vrai, je le promet sur mon honneur.
envoyé par: Tara
Je passe la porte #3, et je sens mon corps devenir lourd et s'enfoncer, il y a de la fumée partout. Mes mains sont tres propres, je pense dabord a' des mains de femme, mais en regardant plus attentivement, ce sont les mains d'un homme. La peau est légerement foncée, les ongles sont courts, seul l'oriculaire est long. La fumee est toujours présente. Mes chaussure sont faites de tissus clair, type espdrilles. Mes vetements sont clairs aussi. Je sens la pointe d'une tresse de cheveux m'éfleurer le bas du dos. Je me demande quel est mon nom. Le prénom Ping me vient a l'esprit. Xu Ping. Je réalise etre dans une sorte de café. Mais c'est calme, les personnes autour de moi ne discutent pas entre eux, il y a tres peu d'echanges. Je me demande ce qu'il se passe. Un mot me vient a l'esprit... OPIUM.
Cette expérience fut assez étrange, car j'ai vraiment ressenti la sensation d'etre droguée. Lorsque je suis revenue a moi, j'etais tres fatiguée, et peu de temps apres je me suis endormie. Je pense retourner visiter cet homme, qui me semble avoir vecu au debut du 19e siecle au Sud est de la Chine, mais de garder une position d'observatrice pour moins ressentir les effets de l'opium.
envoyé par: Mickaël
Porte 6. J'étais un homme, Gustave, de haute carrure avec des mains calleuses, une barbe grisâtre des cheveux courts noirs. Je portais des chaussures style mocassin noires à boucles dorées, une sorte de bermuda vert bouffant et une veste avec un ceinturon noir à boucle dorée. Je me tenais debout dans une ville pavée où régnait le bruit des passants et des marchands, et de la flûte. À ma droite se tenait la rue passante à ma gauche une sorte de falaise à pierre noire où était placée une grande bâtisse à flanc. Au loin j'aperçois la mer et devant une grande rue qui descend. J'ai réussi à ramener une sorte de ciseau à bois ou de taille de pierre dans une sorte de caisse à outil en bois.
Je ne sais pas du tout à quelle époque je suis. Peut être une correspondance à l'époque post renaissance dans un autre pays. Mais une chose est sûre c'est que cette expérience est très troublante.
envoyé par: Esméralda
Bonsoir Monsieur Werber,
je vous suis depuis de très nombreuses années.
Merci pour ces visions inspirantes.
J'ai suivi aujourd'hui votre entretien avec Lillou.
J'ai fait votre exercice de régressions.
J'ai très bien pu imaginer, l'escalier, les marches, la porte, la clé.
Mais au moment de laisser venir les images du passé, je reste dans un brouillard lumineux.
J'ai toujours le même soucis, je ne vois rien et cela peu importe la pratique ( voyage chamanique, méditations....) C'est très frustrant à la longue.....
Auriez-vous un conseil à me donner ?
Je vous en remercie par avance
envoyé par: Ellop
Il y a dans nos consciences tant de pensées...Celles qui s' effilochent, celles qui filent, celles qui se questionnent, celles qui contemplent ...Et celles qui rêvent....
Alors déjà notre inconscient fait un pont, et sans avoir à sans rappeler, notre conscience évolue...
De rêves en rêves,de pont en pont apparaît enfin l'essentiel qui permet de comprendre, d'accepter et d'évoluer.
Alors les perceptions s'élargissent..
Enfin il a fallut "pousser la machine", "forcer la bête" pour maintenir le cap , ne pas couler à la première adversité, chavirer en cours de tempête... Qui, s'adoucissant, se calmant permit à la barque de se faire voilier et de naviguer Librement.
J'ai "explorée" qui je suis consciemment, je souhaite explorer cet univers au creux de moi ... L' inconscient et ce qu'il garde en mémoire....
Jour d'anniversaire de ma fille,un peu tard...La maison est silencieuse des rires des enfants maintenant couchés . Ce soir c'est décidé je veux vérifier , par moi même , "l’accès à ses vies antérieures était-il (vraiment) possible? "
Guidée par mon compagnon, en s'appuyant sur des étapes empruntées à B. Werber (Merci!) dans son spectacle de la Baule, je fais une plongée en moi-même...
Me voici devant Mon escalier, je descend les dix marches. L'une après l'autre...Une porte...La porte de mon inconscient ...Ma Porte, blanche, un liseré dorée, légèrement voûtée.. Je suis curieuse et regarde par le trou de la serrure... Une lumière file à l'horizontale...Je cherche la clef... Pas de clef... Je regarde et vois venir une minette noire avec une clef dorée, elle la dépose... Je la prend et rentre....
D'abords pas de porte, un couloir avec un parquet où ,d'entre les lames,surgie une lumière jaune vive... Au fond du couloir un escalier , montant en colimaçon.
Le couloir s 'allonge ou se raccourcie, selon l'attention que je porte à cet escalier.. J'ai beaucoup de mal à reporter mon attention au couloir.
Les portes apparaissent, sur ma gauche les premières portent sur leur coté une araignée et un serpent en fer forgés...
Mon attention se porte sur ma droite , je choisie une porte , encadrement en bois, une petite plaque ovale... 109. Une lumière fuse par le bas... Je rentre
Mon compagnon me demande de distinguer mes mains... Je regarde , me concentre... Et rie !!! Ceux ne sont pas des mains mais des serres !!!
Je suis un oiseau ! Je distingue très bien le paysage que je survole...
Une immense forêt ,s'étend à perte de vue, au fond à droite : un lac, très grand, bleu arctique...,
Au loin à gauche la forêt, plus prés la forêt s'engouffre dans une vallée qui la parcourt telle une artère.
Donnant naissance à un relief qui révèle un paysage aussi beau qu'impressionnant ...
A nouveau sur ma gauche , de grandes falaises.. Je comprend: là se trouve la colonie, je suis un jeune rapace...Ce n'est pas mon premier vol mais je n'ai pas encore beaucoup d'expérience...J'aime me laisser porter, planer...
Bond dans le temps...
Me voici dans la vallée, je chasse, je suis adulte et je me sens "affûté".Sentiment très fort , très agréable... Je ressens le déplacement dans l'air; le moindre mouvement, l'orientation du corps se font avec l'air.
Je ressens la faim, je sais que cette faim est au centre de ma vie. Elle est, non pas subie , mais utilisée comme moteur...
Mon compagnon me demande de reprendre la porte , je la vois, elle se fond avec un nuage...
Je remonte dans les airs, et décide de prendre le temps et le plaisir de voler encore... Sentir l'air , rester, encore un peu dans cette symbiose animal/nature...
Je sors, la porte est devenue comme La porte: blanche, une liseré doré, un peu voûtée...
Au fond du couloir l'escalier en colimaçon est devenue plus blanc, et un rapace sculpté serres en avant est posé sur la rampe ...J'hésite à aller à l'escalier, mais ,non je sors du couloir.
Je remonte les dix marches, une à une...
Cette première expérience très forte en sensation a été très agréable à vivre...
J'ai ensuite refais une autre expérience où j'ai découvert derrière la porte 603 une autre vie.
Les détails plus nombreux, les bruits, les émotions ... Étonnant à vivre !
Mais ce qui me fascine le plus est le couloir, les portes y sont nombreuse , avec des marques , des signes que je ne connaissais pas ( maintenant si : se sont les chiffres 500 en égyptiens!).
D'autres sont faites d'eau, de lave ou de "lumière matière".
Une lumière traverse le plancher et lors de ma deuxième "visite" , la lumière était comme "joyeus" et franchement indisciplinée !!!
ET l'escalier du fond...
Qui a t-il en haut...?
Au dessus de cet accès au temps que je vois sous la forme d'un couloir , Que se trouve t-il ?
Oui... Ce couloir vu un rêve est peut-être un autre Pont ...
envoyé par: MarIsma
Hier, mercredi 18 septembre 2019, j’ai fait ma première grande plongée. J’ai enfin pu aller au spectacle / conférence / histoire / concert de Bernard Werber, j’ai enfin fait ma « séance d’hypnose régressive » pour tenter de percevoir une de mes vies antérieures.
Mon escalier en colimaçon, sombre. 10 marches. Ma porte d’ouverture de l’inconscient : simple, blindée, métallique. Grosse serrure, une clé métallique (la même clé que celle de ma cabane / maison de rêve sur mon île), j’enlève le verrou, pas de résistance, la porte s’ouvre. Mon couloir apparaît. Couleur du sol : bleu, une évidence. Couleur des murs, apparence des portes : très indéterminé… !! Le couloir semble long. Mais aussi flou. Très dur de le visualiser, de la garder en mémoire, ce couloir aurait envie de se dissimuler derrière un brouillard si je ne me concentrais pas de manière très forte pour le garder en tête.
Choix de visionnage : une vie sympathique, où j’ai vécu mon plus grand amour.
Une porte s’allume, à côté d’une porte qui devient noir. C’est vers le bout du couloir. J’y accours. Je prends soin d’éviter la porte noir, je me dirige à la porte illuminée. Quel numéro de porte me demande Bernard Werber. Il n’y a rien d’écrit. Je ne sais pas. Je n’ai pas cette information. Oh, le 17 arrive dans mes pensées. Je garde le numéro 17 pour cette porte.
Un brouillard, je dois m’imaginer dans un corps. Je regarde la main de ce corps : couleur bronzée, traits très fins, main jeune toute fine, fragile. Je regarde les pieds : même couleur de peau. Les chaussures ? Des espèces de tongs avec un bandeau qui laisse voir les orteils. Les vêtements ? D’abord me vient en tête une robe courte, matière transparente, comme un voile brillant. Plus j’y réfléchis, plus je vois une étole ample blanche, nouée à la ceinture, très féminine, avec du tissus de belle fabrique. De longs cheveux noirs, magnifiques, bouclés. Cette jeune fille doit être éclatante de beauté. Un nom me demande Bernard. Il arrive tout de suite : Isma. Un pays, une région me demande Bernard ? Ça m’arrive également immédiatement : l’Algérie, l’Afrique du Nord, zone arabe. Un âge ? 17 ans. Décidément, le nombre 17 est important pour moi ce soir. Une époque ? Impossible à dire ! Il n’y a pas de voiture, aucun indice autour de moi qui me permettrait de le savoir. J’entends le bruit de l’eau, des oiseaux aussi peut-être. De la sérénité, du calme. Bernard nous laisse quelques minutes pour aller explorer cette vie. Je me balade dans un village très lumineux. Je remarque un puits, la chaleur et la lumière du jour, une sorte de place de village (ou cour intérieure d’une grande maison ?). Je suis seule, je ne remarque aucun animal ou autre personne autour de moi. Il est déjà temps de rentrer, je visualise une porte de retour derrière moi, je la prends. Je reviens dans mon couloir, et place un objet pour me rappeler de cette vie devant la porte. Je prends un plat à tagine. Il est posé devant cette porte. Je remonte le couloir, ferme ma porte à clé, remonte dans ma cage d’escaliers en colimaçon, 10 marches, ouvrez les yeux, TOP.
Woa.
Isma.
Qui était son amour ?
Le pays des mille et une nuits. Aladin et Jasmine. Isma et son prince.
Petite recherche Google : Isma est bien un nom d’origine arabe. Il signifie protection divine.
envoyé par: Emmanuelle38
Bonjour,
Lectrice de la première heure (à quelques minutes près) j'ai vécu une régression dans une vie antérieur, sous hypnose. Je me retrouve seule dans un paysage vallonné et brûlé par un soleil ardent; Un village de maisons carrées et blanches au loin et entre ce village et moi un long chemin de terre séchée. Je me vois comme on peut s'apercevoir au quotidien, càd nez flou, bras, mains, poitrine, (j'étais donc une femme), pieds, etc. des cheveux longs et noirs flottaient au vent (je suis blonde dans cette vie). Un sentiment de peur intense me poussait à courir vers le village. Un sentiment d'être poursuivie. Je suis alors d'abord frappée à l'omoplate droite, j'ai affreusement mal mais je cours. Je suis ensuite transpercée à l'omoplate gauche par un pieu qui ressort au niveau de ma poitrine, le coeur expulsé et embroché. Je vois et j'entends ce coeur diminuer ses battements et je crie "je meurs donc comme ça?". Je me réveille.
Quelques jours plus tard, une insupportable douleur que je me traînais depuis des années à l'omoplate gauche et qui me bloquait les jours d'intense émotion, disparait. J'ai vécu cette expérience en 2015. Depuis je n'ai plus mal!
envoyé par: MARIE
Bonsoir ...je découvre (avec bonheur et intérêt) votre site, après avoir écouté votre histoire ...
oui, j'ai le sentiment d'avoir au moins conscience de deux vies antérieures (depuis peu) et qui expliquent des défis que j' ai eu et ai encore à surmonter (et des choix de vie)
1)religieuse , ''mère supérieure" d'une communauté, ayant fait ''voeux'' de pauvreté, chasteté .... ect .....
2)dans un harem, vivant dans des tentes au milieu du désert ....( mariage avec un syrien, goût pour certaines musiques ....que je ne pouvais m'expliquer!!)
L'Inde est le pays où j'habite il faisait froid et je me suis retrouvé avec être privé de manger pour les riches qui sont y paraît important. Mon jour de malchance commencé en 1816 est fini quand j'étais mort. Je suis né.
Le 25 /11/1806
envoyé par: Gigilama80
Je pense avoir était une personne privée de nourriture depuis des mois
Aussi un lapin à cause de mes dents
envoyé par: Anne-Laure
Suite à une de vos régressions sur Marseille :
Au-dessus de la porte 51, il y avait un oiseau en métal couronné, ailes ouvertes, de profil.
Je rentre et vois que je porte un cerclage doré sur le front, une robe fluide, longue, rose/rouge coquelicot, des sandales.
J'habite comme un palais. Je vois de grands escaliers, qui je pense, sont en marbre blanc avec des nervures grises et saumon.
Je suis accoudée à un balcon de pierres(j'ai dessiné sur ma feuille la forme). Je suis triste, regard vague , dans le vide, personne ne vient me voir, une vie de solitude.
Avant de partir, je vois un meuble type coiffeuse. On dirait que je prépare un spectacle. Je porte comme un pantalon/culotte bouffante rayée bi-colore en soie,avec un peu de dentelle. Une image s'impose à moi : la tête d'un lion.
Je referme la port et laisse mon diadème.
envoyé par: Sourciere
J'étais un jeune simplet qui vivait dans les montagnes entre la France et l'Italie je crois. Je gardais des chèvres pour une petite communauté de vieux moines qui fabriquaient du fromage. J'étais un enfant trouvé et la communauté m'a en quelque sorte adopté. Ils me donnaient du pain et du fromage de chèvre en échange de mon travail. J'avais des sandales et une vieille bure de moine transformée en tunique courte adapté à ma petite taille. Mon manque d'intelligence me procurait une vie heureuse et pure en contact étroit avec la nature.
Ce fut une belle vie toute simple. Une pause entre deux vies plus compliquées. De l'air, du soleil, ponctué par le bêlement des chèvres et le chant des moines au loin. Nous étions dans un lieu très reculé. J'aimais me coucher et regarder passer les nuages. Je suis mort tout bêtement. Je n'ai pas eu le temps d'avoir peur puisque la réflexion me faisait défaut. J'avais 14 ans je crois. Mon pied a glissé sur un caillou et je suis tombée de très haut. C'était une belle journée de soleil et de vent. J'ai le sentiment que nous étions dans les années 1300. J'avais besoin d'une vie de paix et de silence mental.
envoyé par: Shawnee
Bonjour Bernard,
Ravie de pouvoir partager quelques mots au sujet de l'avant-vie... ou l'après-vie, étant donné que le Temps linéaire n'existe pas.
Je ressens depuis petite, que j'ai vécu dans la Grèce et la Rome antiques. Et avant cela, en Égypte antique également.
Pourtant, j'ai fait 3 régressions via votre entremise avec Lilou M. et j'ai été emmenée :
- La 1ère se situe à Angkor Vat au XIIe siècle où j'étais une Apsara, l'une de ces gracieuses Danseuses qui "glissent sur l'eau". Notez que je n'avais aucune connaissance à leur sujet... mais cela m'a beaucoup plu. Je voulais explorer une vie où la discipline et l'excellence étaient portées à leur apogée.
- Une 2ème où je suis un propriétaire doux, respectueux et ouvert aux recommandations de ceux qui travaillent sur ma plantation d'orangers et de café en Californie au 18e siècle et ma femme est une personne. Je voulais ramener de cette vie, des savoirs-faire, des qualités professionnelles de savoir-faire (commercial) et la sensation d'être aisé mais je n'ai pas su ;
- la 3ème se situe au Japon (ou en Chine) du 17e siècle où je suis un calligraphe aimable et avenant, je porte à l'avant-bras un tatouage de dragon délicatement dessiné : mon but était d'explorer une vie dans laquelle je serai pleinement concentrée, attentionnée à ce que je fais, ce que je dis, à ma vie. C'était là chose faite.
En revanche, je n'ai pas su ramener ces qualités dans mon présent - que j'avais par nature jusqu'à mes trente ans environ.
Bien à vous et au plaisir de vous lire !
envoyé par: jbclt
Pour ses 70 ans, il y a qqes années, une de mes sœurs voulait faire le pèlerinage de St Jacques. Je l'ai accompagnée, de même qu'un beau frère qui connait la région. Peu avant Nasbinals, au milieu de nulle part, j'ai ressenti un sentiment particulier, puissant, la connaissance intuitive qu'il s'était passé qqch d'important à un endroit précis, peu avant un pont, au bord d'une petite rivière. J'ai demandé à mon beau frère s'il s'était passé qqch d'important à cet endroit ? Rien, m'a t il répondu, à part les guerres de religion. Après être revenu en région parisienne, des souvenirs (ou des réminiscences, je ne sais pas comment qualifier ce genre de choses) précis me sont revenus en tête, petit à petit. D'où il ressort que j'étais très certainement un protestant actif, et recherché par les autorités locales. ils avaient fini par nous retrouver, un compagnon et moi. Un cavalier armé, en uniforme, et un ou 2 accompagnants. C'était la fin de l'été, il faisait beau. On se dépêchait de traverser l'Aubrac, avant la mauvaise saison. J'avais décidé de prendre ce chemin, plus court pour rentrer chez nous, mais plus risqué, contre l'avis de mon compagnon. Et ce militaire, ou gradé, était bien décidé à en finir avec moi en particulier. Que peut faire un ouvrier agricole journalier face à 3 hommes, dont un qui manipule une épée, même si son métier en a fait un homme de bonne carrure. Mon sort était donc réglé. Ce qui m'est venu ensuite m'a étonné : j'étais en colère d'avoir été assassiné, en laissant une femme et 2 enfants. Et mon esprit est donc resté à hanter les lieux pendant un certain temps. Et j'ai cherché à faire peur aux gens qui passaient par là, parfois avec succès, pour peu qu'ils soient un peu sensibles. Autre détail précis qui me fait croire que ce n'est pas une pure invention de mon cerveau : la route actuelle est un peu éloignée de cette petite rivière. A l'époque, ce n'était qu'un chemin de terre, qui était parfois inondé, et donc boueux, lorsque le niveau de la rivière montait.
envoyé par: Sam
Bonjour, après avoir lu La boite de Pandore et les Thanatonautes, le fait de vivre différentes vies m'a interpellée. Je pense que j'ai du être une louve dans mon passé puisque je ressent un fort lien avec cet animal. Je pense que je dois être au début de ma vie d'humain puisque je me suis découvert gender-fluid (Mon genre fluidifie, je passe de féminin, à masculin, les deux ou aucun à certaine périodes.)
envoyé par: Viviane Moreau - Bruxelles
Il y a peu, j'ai compris que dans cette vie-ci j'effectuais un karma/réincarnation afin de régler ce que je n'avais pas réalisé correctement par le passé. Au 12è siècle, j'ai vécu en Israël. Pour suivre celui que j'aimais, je me suis mal conduite avec ma communauté et ma famille. L'histoire est compliquée, mais tout ce que j'ai vécu et tout ce que je vis maintenant renforce cette quasi certitude. C'est ainsi que j'ai pu pardonner à mon père car, inconsciemment, c'est lui qui a été l'instrument primordial de mon karma. Dommage que je ne l'ai compris qu'après son décès. Ensuite, des signes, rêves et prémonitions m'ont confortés dans le fait que ce n'était pas mon imagination qui déraillait. Les choses, faits et actes se mettaient tout naturellement en place. J'ai aussi compris que le fil conducteur de ma vie était et est toujours "l'amour" parce qu'une fois, de l'autre côté, on ne sera jugé qu'à l'aune de l'amour. Alors, n'y tenant plus, début mars (début du covid), j'ai mis trois mois à écrire le premier tome de "La croix et l'étoile". L'histoire se passe à Jérusalem et à Saint Jean d'Acre, à l'époque des croisés. Nous sommes en avril et je viens d'en terminer la suite qui navigue entre fiction et réalité présente. Artiste peintre, mes couvertures sont faites et j'attends que mon fils fasse imprimer mes livres. La boucle sera alors bouclée. C'est une sensation merveilleuse que d'avoir trouvé "le pourquoi" de ma vie actuelle. Je ne désire pas me cacher sous un pseudo.
envoyé par: Jessy
Dans cette vie je suis une femme, j'ai 53ans, j'ai fait l'expérience d'une vie antérieur avec vous, sur la télé de Lilou Macé : c'était super !
porte 9, mon voeux est de ressentir l'amour de mes parents :
époque des pharaons, je suis un enfant de sexe masculin, j'ai environ 9ans, mes parents sont âgés, ils sont des bédoins, il fait très chaud, nous sommes au milieu du désert, je suis avec mon père, il y a un âne qui porte les pierres, nous nous abritons sur une falaise, je crois que c'est une pyramide en construction, il y a des pierres qui tombent,
nous rejoignions la tente bédouine où ma mère nous attend, elle est belle, elle m'accueille dans ses bras, elle est assise et visiblement elle nous a préparé à manger,
beaucoup d'amour, de chaleur et de bienveillance nous entoure,
je repars de cette régression en emmenant avec moi un plat argenté de taille moyenne orné de pierres précieuses bleues, vertes, oranges
c'était un beau voyage, merci Bernard Werber, vous embellissez nos vies !
envoyé par: RayZ
Je suis dans un désert au cœur de la nuit. Le ciel est étoilé. Il n’y a pas de vent, il ne fait ni froid ni chaud ; bref c’est le calme total. L’ambiance y est surréaliste, métaphysique, mystique, nostalgique, futuristique, fantasmagorique, éthérée, remplie d’angoisse et d’espoir. La mort est l’atome de la vie. Du ventre vide à l’abondance nourricière, de l’amour à la guerre, comme autant de notes d’une seule et même mélodie majestueuse.
Il y a une énigme cachée dans des temples de style égyptien, mais dont je ne pourrais identifier la provenance. Tout ça est là, dans le désert.
La Lune brille, sa forme me parle de géométrie, sa lumière me parle de la nuit, ses mouvements me parlent des étoiles et sa couleur me parle de destinée. Elle me pique un brin de jasette en attendant le grand retour du Soleil.
Dans quelle geôle existentielle suis-je prisonnier? Dans quel labyrinthe magique ai-je atterri? Le calcul instinctif glace le sang, les pulsions animales bouillent dans mes veines. La chaleur de l’autre m’abrite, je suis dans le train vers cette destination finale qu’est le mystère de la vie.
envoyé par: Capitaine27kirk69
Bonjour a tous...vous allez bien rire avec ce qui suis (-: (si c'est publié car mon dernier message n'a jamais été publié )
Je suis arrivé sur terre parmi les premiers, j'étais alors un Reptilien, parmi les gentils Reptiliens car il y a des méchants hélas. Et je suis d'ailleurs mort au combat contre ces méchants reptiliens, et ce en compagnie de B. Werber qui était la aussi, car nous nous connaissons depuis fort longtemps..Et depuis ils sont toujours la, et c'est eux qui gouverne notre monde sans que nous le sachions. Plus tard j'ai été Atlante comme Bernard, et j'ai survécu au Déluge surement, comme il le décrit dans son livre avec les 144. Et j'ai eu une vie ou je me suis retrouvé en Egypte et ou B. Werber y était mon fils. Et nous avons participé au projet Pyramide, surtout lui d'ailleurs car il avait un poste haut placé. Puis je me suis retrouvé du temps de Jésus ou je faisais partie d'un groupe de 12, et B. Werber s'est joint a nous en étant le 13 -ème pour remplacer un d'entre nous qui s'est pendu. Puis je me suis retrouvé Templier avec B. Werber, puis je me suis retrouvé étant son frère alors qu'il était Jules Vernes...Bien sur beaucoup vont rire en lisant cela (-:...Mais c'est pourtant l'histoire que les médiums que j'ai rencontré m'on tous raconté, et j'en ai déjà vu quelques un...Et j'ai eu des renseignements de Monique la médium de B. Werber a qui j'ai pu avoir accès, car elle m'aide d'en haut et me porte un amour maternel, c'était surement déjà ma maman.
Alors vous avez bien rigolé ?
Mais plutôt que de rire...Demandez moi plutôt de vous la raconter mon histoire ou j'ai moults audios et synchronicités décoiffantes…J'ai déjà vécu d'autres vies et j'en ai la preuve tellement mon histoire est logique...Et dans l'une d'elle j'étais l'Apôtre Jean...Et ce que je vis actuellement le prouve 1000 fois…Et d'en haut…. On me demande de redevenir Jean...Le combat n'est pas terminé...Le jour de la riposte est arrivée !!! Bernard ce message est pour toi...Demande moi ce que je sais..j
envoyé par: Mathilde
Enfant, il me semble qu'il existe des lieux familiers alors que je n'y suis jamais allée et j'éprouve un grand plaisir à lire sur le sujet ou imaginer y vivre. Certaines sociétés me fascinent. Avec une amie nous jouons à être des indiens d'Amérique. J'ai 8 ans et je me souviens être complètement prise par le jeu, mon amie me parle de piège à loups (j'entends "pieds jaloux"). Plus tard lors d'un stage avec un amérindien, au cours d'une méditation, je me sens partir sur un sentier dans la forêt, je suis un jeune homme en très bonne santé, un chasseur, et je pars pister des animaux, je me déplace très souplement et ne laisse aucune trace de mon passage. Les deux expériences se recoupent et comment expliquer que JE SAIS que j'ai été cet indien et que mon pied a été pris par ce piège...
Lors des méditations guidées, je pénètre dans le couloir et n'arrive à ouvrir aucune porte! Mais par contre, depuis toujours je suis étonnée des aptitudes que l'on peut avoir sans aucun apprentissage ni raison familiale, nos goûts particuliers, ... Si j'avais vécu d'autres vies? Ce serait aux temps préhistoriques,et puis chez les Inuits, à découper et manger de la viande ou du poisson cru, puis, bien plus tard cordonnier et aussi artisan tailleur de pierre...
envoyé par: Anne-Marie
J'ai eu une vision un jour : je me suis vue dans une de mes vies antérieures, j'étais en Egypte, j'étais un homme (je suis une femme dans ma vie actuelle), j'étais au pied d'un très haut bâtiment en pierres, devant la porte autour de laquelle il y avait une immense silhouette de chat. j'étais responsable et soigneur dans ce refuge réservé aux chats sacrés. Les chats m'aiment tous dans ma vie actuelle et moi je les adore.
Lors de la lecture de votre livre : la boite de Pandore, j'ai fait ce que vous indiquiez et j'ai demandé d'avoir un aperçu de ma vie la plus heureuse : j'ai été très étonnée car au bout d'un couloir, c'était un peu trouble puis plus net : je me suis vue en guenon, habillée avec une petite robe rouge, dans un cirque ! j'avais un ami qui était un dromadaire... j'avoue que j'ai eu peur et je suis remontée tout de suite vers ma conscience
tout ceci est strictement vrai, je le promet sur mon honneur.
envoyé par: Tara
Je passe la porte #3, et je sens mon corps devenir lourd et s'enfoncer, il y a de la fumée partout. Mes mains sont tres propres, je pense dabord a' des mains de femme, mais en regardant plus attentivement, ce sont les mains d'un homme. La peau est légerement foncée, les ongles sont courts, seul l'oriculaire est long. La fumee est toujours présente. Mes chaussure sont faites de tissus clair, type espdrilles. Mes vetements sont clairs aussi. Je sens la pointe d'une tresse de cheveux m'éfleurer le bas du dos. Je me demande quel est mon nom. Le prénom Ping me vient a l'esprit. Xu Ping. Je réalise etre dans une sorte de café. Mais c'est calme, les personnes autour de moi ne discutent pas entre eux, il y a tres peu d'echanges. Je me demande ce qu'il se passe. Un mot me vient a l'esprit... OPIUM.
Cette expérience fut assez étrange, car j'ai vraiment ressenti la sensation d'etre droguée. Lorsque je suis revenue a moi, j'etais tres fatiguée, et peu de temps apres je me suis endormie. Je pense retourner visiter cet homme, qui me semble avoir vecu au debut du 19e siecle au Sud est de la Chine, mais de garder une position d'observatrice pour moins ressentir les effets de l'opium.
envoyé par: Mickaël
Porte 6. J'étais un homme, Gustave, de haute carrure avec des mains calleuses, une barbe grisâtre des cheveux courts noirs. Je portais des chaussures style mocassin noires à boucles dorées, une sorte de bermuda vert bouffant et une veste avec un ceinturon noir à boucle dorée. Je me tenais debout dans une ville pavée où régnait le bruit des passants et des marchands, et de la flûte. À ma droite se tenait la rue passante à ma gauche une sorte de falaise à pierre noire où était placée une grande bâtisse à flanc. Au loin j'aperçois la mer et devant une grande rue qui descend. J'ai réussi à ramener une sorte de ciseau à bois ou de taille de pierre dans une sorte de caisse à outil en bois.
Je ne sais pas du tout à quelle époque je suis. Peut être une correspondance à l'époque post renaissance dans un autre pays. Mais une chose est sûre c'est que cette expérience est très troublante.
envoyé par: Esméralda
Bonsoir Monsieur Werber,
je vous suis depuis de très nombreuses années.
Merci pour ces visions inspirantes.
J'ai suivi aujourd'hui votre entretien avec Lillou.
J'ai fait votre exercice de régressions.
J'ai très bien pu imaginer, l'escalier, les marches, la porte, la clé.
Mais au moment de laisser venir les images du passé, je reste dans un brouillard lumineux.
J'ai toujours le même soucis, je ne vois rien et cela peu importe la pratique ( voyage chamanique, méditations....) C'est très frustrant à la longue.....
Auriez-vous un conseil à me donner ?
Je vous en remercie par avance
envoyé par: Ellop
Il y a dans nos consciences tant de pensées...Celles qui s' effilochent, celles qui filent, celles qui se questionnent, celles qui contemplent ...Et celles qui rêvent....
Alors déjà notre inconscient fait un pont, et sans avoir à sans rappeler, notre conscience évolue...
De rêves en rêves,de pont en pont apparaît enfin l'essentiel qui permet de comprendre, d'accepter et d'évoluer.
Alors les perceptions s'élargissent..
Enfin il a fallut "pousser la machine", "forcer la bête" pour maintenir le cap , ne pas couler à la première adversité, chavirer en cours de tempête... Qui, s'adoucissant, se calmant permit à la barque de se faire voilier et de naviguer Librement.
J'ai "explorée" qui je suis consciemment, je souhaite explorer cet univers au creux de moi ... L' inconscient et ce qu'il garde en mémoire....
Jour d'anniversaire de ma fille,un peu tard...La maison est silencieuse des rires des enfants maintenant couchés . Ce soir c'est décidé je veux vérifier , par moi même , "l’accès à ses vies antérieures était-il (vraiment) possible? "
Guidée par mon compagnon, en s'appuyant sur des étapes empruntées à B. Werber (Merci!) dans son spectacle de la Baule, je fais une plongée en moi-même...
Me voici devant Mon escalier, je descend les dix marches. L'une après l'autre...Une porte...La porte de mon inconscient ...Ma Porte, blanche, un liseré dorée, légèrement voûtée.. Je suis curieuse et regarde par le trou de la serrure... Une lumière file à l'horizontale...Je cherche la clef... Pas de clef... Je regarde et vois venir une minette noire avec une clef dorée, elle la dépose... Je la prend et rentre....
D'abords pas de porte, un couloir avec un parquet où ,d'entre les lames,surgie une lumière jaune vive... Au fond du couloir un escalier , montant en colimaçon.
Le couloir s 'allonge ou se raccourcie, selon l'attention que je porte à cet escalier.. J'ai beaucoup de mal à reporter mon attention au couloir.
Les portes apparaissent, sur ma gauche les premières portent sur leur coté une araignée et un serpent en fer forgés...
Mon attention se porte sur ma droite , je choisie une porte , encadrement en bois, une petite plaque ovale... 109. Une lumière fuse par le bas... Je rentre
Mon compagnon me demande de distinguer mes mains... Je regarde , me concentre... Et rie !!! Ceux ne sont pas des mains mais des serres !!!
Je suis un oiseau ! Je distingue très bien le paysage que je survole...
Une immense forêt ,s'étend à perte de vue, au fond à droite : un lac, très grand, bleu arctique...,
Au loin à gauche la forêt, plus prés la forêt s'engouffre dans une vallée qui la parcourt telle une artère.
Donnant naissance à un relief qui révèle un paysage aussi beau qu'impressionnant ...
A nouveau sur ma gauche , de grandes falaises.. Je comprend: là se trouve la colonie, je suis un jeune rapace...Ce n'est pas mon premier vol mais je n'ai pas encore beaucoup d'expérience...J'aime me laisser porter, planer...
Bond dans le temps...
Me voici dans la vallée, je chasse, je suis adulte et je me sens "affûté".Sentiment très fort , très agréable... Je ressens le déplacement dans l'air; le moindre mouvement, l'orientation du corps se font avec l'air.
Je ressens la faim, je sais que cette faim est au centre de ma vie. Elle est, non pas subie , mais utilisée comme moteur...
Mon compagnon me demande de reprendre la porte , je la vois, elle se fond avec un nuage...
Je remonte dans les airs, et décide de prendre le temps et le plaisir de voler encore... Sentir l'air , rester, encore un peu dans cette symbiose animal/nature...
Je sors, la porte est devenue comme La porte: blanche, une liseré doré, un peu voûtée...
Au fond du couloir l'escalier en colimaçon est devenue plus blanc, et un rapace sculpté serres en avant est posé sur la rampe ...J'hésite à aller à l'escalier, mais ,non je sors du couloir.
Je remonte les dix marches, une à une...
Cette première expérience très forte en sensation a été très agréable à vivre...
J'ai ensuite refais une autre expérience où j'ai découvert derrière la porte 603 une autre vie.
Les détails plus nombreux, les bruits, les émotions ... Étonnant à vivre !
Mais ce qui me fascine le plus est le couloir, les portes y sont nombreuse , avec des marques , des signes que je ne connaissais pas ( maintenant si : se sont les chiffres 500 en égyptiens!).
D'autres sont faites d'eau, de lave ou de "lumière matière".
Une lumière traverse le plancher et lors de ma deuxième "visite" , la lumière était comme "joyeus" et franchement indisciplinée !!!
ET l'escalier du fond...
Qui a t-il en haut...?
Au dessus de cet accès au temps que je vois sous la forme d'un couloir , Que se trouve t-il ?
Oui... Ce couloir vu un rêve est peut-être un autre Pont ...
envoyé par: MarIsma
Hier, mercredi 18 septembre 2019, j’ai fait ma première grande plongée. J’ai enfin pu aller au spectacle / conférence / histoire / concert de Bernard Werber, j’ai enfin fait ma « séance d’hypnose régressive » pour tenter de percevoir une de mes vies antérieures.
Mon escalier en colimaçon, sombre. 10 marches. Ma porte d’ouverture de l’inconscient : simple, blindée, métallique. Grosse serrure, une clé métallique (la même clé que celle de ma cabane / maison de rêve sur mon île), j’enlève le verrou, pas de résistance, la porte s’ouvre. Mon couloir apparaît. Couleur du sol : bleu, une évidence. Couleur des murs, apparence des portes : très indéterminé… !! Le couloir semble long. Mais aussi flou. Très dur de le visualiser, de la garder en mémoire, ce couloir aurait envie de se dissimuler derrière un brouillard si je ne me concentrais pas de manière très forte pour le garder en tête.
Choix de visionnage : une vie sympathique, où j’ai vécu mon plus grand amour.
Une porte s’allume, à côté d’une porte qui devient noir. C’est vers le bout du couloir. J’y accours. Je prends soin d’éviter la porte noir, je me dirige à la porte illuminée. Quel numéro de porte me demande Bernard Werber. Il n’y a rien d’écrit. Je ne sais pas. Je n’ai pas cette information. Oh, le 17 arrive dans mes pensées. Je garde le numéro 17 pour cette porte.
Un brouillard, je dois m’imaginer dans un corps. Je regarde la main de ce corps : couleur bronzée, traits très fins, main jeune toute fine, fragile. Je regarde les pieds : même couleur de peau. Les chaussures ? Des espèces de tongs avec un bandeau qui laisse voir les orteils. Les vêtements ? D’abord me vient en tête une robe courte, matière transparente, comme un voile brillant. Plus j’y réfléchis, plus je vois une étole ample blanche, nouée à la ceinture, très féminine, avec du tissus de belle fabrique. De longs cheveux noirs, magnifiques, bouclés. Cette jeune fille doit être éclatante de beauté. Un nom me demande Bernard. Il arrive tout de suite : Isma. Un pays, une région me demande Bernard ? Ça m’arrive également immédiatement : l’Algérie, l’Afrique du Nord, zone arabe. Un âge ? 17 ans. Décidément, le nombre 17 est important pour moi ce soir. Une époque ? Impossible à dire ! Il n’y a pas de voiture, aucun indice autour de moi qui me permettrait de le savoir. J’entends le bruit de l’eau, des oiseaux aussi peut-être. De la sérénité, du calme. Bernard nous laisse quelques minutes pour aller explorer cette vie. Je me balade dans un village très lumineux. Je remarque un puits, la chaleur et la lumière du jour, une sorte de place de village (ou cour intérieure d’une grande maison ?). Je suis seule, je ne remarque aucun animal ou autre personne autour de moi. Il est déjà temps de rentrer, je visualise une porte de retour derrière moi, je la prends. Je reviens dans mon couloir, et place un objet pour me rappeler de cette vie devant la porte. Je prends un plat à tagine. Il est posé devant cette porte. Je remonte le couloir, ferme ma porte à clé, remonte dans ma cage d’escaliers en colimaçon, 10 marches, ouvrez les yeux, TOP.
Woa.
Isma.
Qui était son amour ?
Le pays des mille et une nuits. Aladin et Jasmine. Isma et son prince.
Petite recherche Google : Isma est bien un nom d’origine arabe. Il signifie protection divine.
envoyé par: Emmanuelle38
Bonjour,
Lectrice de la première heure (à quelques minutes près) j'ai vécu une régression dans une vie antérieur, sous hypnose. Je me retrouve seule dans un paysage vallonné et brûlé par un soleil ardent; Un village de maisons carrées et blanches au loin et entre ce village et moi un long chemin de terre séchée. Je me vois comme on peut s'apercevoir au quotidien, càd nez flou, bras, mains, poitrine, (j'étais donc une femme), pieds, etc. des cheveux longs et noirs flottaient au vent (je suis blonde dans cette vie). Un sentiment de peur intense me poussait à courir vers le village. Un sentiment d'être poursuivie. Je suis alors d'abord frappée à l'omoplate droite, j'ai affreusement mal mais je cours. Je suis ensuite transpercée à l'omoplate gauche par un pieu qui ressort au niveau de ma poitrine, le coeur expulsé et embroché. Je vois et j'entends ce coeur diminuer ses battements et je crie "je meurs donc comme ça?". Je me réveille.
Quelques jours plus tard, une insupportable douleur que je me traînais depuis des années à l'omoplate gauche et qui me bloquait les jours d'intense émotion, disparait. J'ai vécu cette expérience en 2015. Depuis je n'ai plus mal!
envoyé par: MARIE
Bonsoir ...je découvre (avec bonheur et intérêt) votre site, après avoir écouté votre histoire ...
oui, j'ai le sentiment d'avoir au moins conscience de deux vies antérieures (depuis peu) et qui expliquent des défis que j' ai eu et ai encore à surmonter (et des choix de vie)
1)religieuse , ''mère supérieure" d'une communauté, ayant fait ''voeux'' de pauvreté, chasteté .... ect .....
2)dans un harem, vivant dans des tentes au milieu du désert ....( mariage avec un syrien, goût pour certaines musiques ....que je ne pouvais m'expliquer!!)
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